Description du personnage :
¤ Nom :Jilgur
¤ Prénom :Haaleven Paendra mais je hais mon deuxième nom. Paendra me viens de ma mère qui voulais absolument avoir une fille qui porterait son nom. Ainsi, je le donnerai à ma fille et celle-ci à la sienne et ainsi de suite.
¤ Âge :22 ans
¤ Sexe :Féminin quoique je soit assez garçon-manqué
¤ Métier :Cavalière Français... pour Qelannor et non pour la France
¤ Pays :France
¤ Physique: (Inclus les vêtements) quatre lignes minimum) :
¤ Caractère : (Ce que votre personnage aime, ce qu'il n'aime pas. ces qualités et ses défauts) quatre lignes minimum) :
¤ Armes (Deux maximum) :
¤ Histoire (Huit lignes minimum) :
J'ai vécu la vie rêver toute mon enfance. Je savais que mes parents aidait grandement la France. Ma mère était une Cavalière hors paire. Mon père était soldat. Tout deux combattaient avec les autres soldat de la région du Sud pour repousser les envahisseur Britannique qui contournait la France pour venir s'infiltrer par un passage près de notre région dans le Sud. Les dirigeants de la France étaient ignorants au bataille que mes parents menaient contre les attaquant qui se trouvaient à l'autre bout du pays. Tout ce qu'ils voulaient, s'étaient attaqué les Anglais sur le champs de bataille. Ils ne portaient pas attention au avertissement de mes parents.
Un jours, alors que j'avais cinq ou six ans, nous avons déménager pour aller s'établir aux frontières Nord de la France et combattre au côté des vrais soldats français. Ceux qui ne défendaient pas mais qui attaquait. Les batailles avaient lieux près de la Belgique, complètement dans la pointe Nord. Mais, je n'y suis jamais vraiment aller. Nous avons littéralement abandonner les habitants du Sud, désespéré par la réaction des dirigeants. Nous avons donc changé de vies pour devenir de vrais habitants français.
Là-bas, j'ai tout appris. J'ai appris la lecture, l'écriture, les mathématiques, la philosophie, les arts. J'ai particulièrement aimé la philo et la façon de penser de mon professeur. Par la suite, je pensais toujours avant d'agir et la réflexion était se qui importait le plus. Mes parents m'ont évidement appris l'art du combat. À douze ans, je savais manier l'épée et tirer au fusil.
J'ai aussi appris à me faire des amis. Dans le village ou j'habitais, la vie était naturellement joyeuse et amicale. Tout le monde connaissais tout le monde. Les adultes se connaissais entre eux et les enfants jouaient avec les autres enfants. Et moi, j'étais de celle qui se mêlait avec les autres. Pourtant, je n'était une fille qui aimais beaucoup jouer à la poupée et à la maman et au papa. Je préférais me batailler avec les garçons qui avaient très rarement le dessus. Il faut dire que je me battais contre les enfants de 10 alors que j'en avait 15. Je n'osais pas affronter les ados de mon âge. Ils faisaient déjà beaucoup de travail manuel avec leurs parents et leur physique me faisait un peu peur. J'aurais probablement été mit à terre après 5 minutes de jeu. Je peux vous l'assurer, ça m'est déjà arriver... Tout ceci me défoulait. J'avais besoin de bouger chaque jour. Mes parents étaient toujours partit et je n'avais rien à faire d'autre que de m'amuser avec les jeunes enfants.
Ce qui gâchât ma vie à tout jamais ce passa vers mes 18 ans. Mes parents avaient toujours voulu me voir devenir quelqu'un d'important et depuis que j'étais toute petite, ils rêvaient à mon avenir. Quelque mois avant mes 19 ans, il me firent un drôle de cadeau... un œuf de Dragon et une place dans l'armée française. Bien entendu, il faudrait que je travaille fort pour me faire une réputation! Mais, je n'en avais pas envie... Je n'avais pas osé le dire à mes parents. Être Cavalière devait être naturellement génial mais ce n'était pas l'avenir que je recherchais. J'aurais préféré vivre une vie de pouilleuse dans les rues à me battre contre de grand gaillards, de voler l'argent que j'avais besoin pour vivre au pire mais pas devenir une grande Cavalière reconnu... Encore moins être une Cavalière deux fois reconnu pour être la fille de Mademoiselle Paendra... ma mère... Mais, je n'osais pas le dire à mes parents. Mon professeur de Philosophie me revint en tête et je réfléchis longuement à tout ça. "Avoir un choix à faire, c'est comme être enfermer dans une prison pour avoir commis un meurtre." me disait-il. "Il faut comprendre pourquoi on a été enfermer. Puis, se demander s'il est préférable de s'évader ou s'il vaut mieux resté à l'intérieur. Comprenez que vous avez été enfermer pour une bonne raison. Puis, vaut-il mieux admettre son crime ou se convaincre soit même que la vie est la seule capable de décidé et de dire que vous êtes innocent..." Tout en y réfléchissant, je compris que c'était mon destin, que je n'avais pas choisis et que, même si j'étais enfermer entre mes deux choix, et je sus que je ne pouvais pas m'évader. Et, j'avais été enfermer pour une bonne raison... Il fallait que je fasses face à mon destin...
Dès que je devins apprentie, je perdit complètement le contact avec mes parents. Je n'avait pas vraiment envie de leurs reparler non plus. Ce qu'il venait de me faire était impardonnable... Peut-être que pour un autre, c'était la plus belle chose qui pouvait arriver. Mais, pas à moi...
Je vécu 2 ans comme apprenti Cavalière chez un homme complètement pervers. Jeune homme je devrais dire. Il avait peut-être six ou sept ans de plus que moi et disons que, malgré sont grand rôle de Cavalier dans l'armée, il n'était pas l'homme le plus... comment dire... celui qui aurait vraiment mérité cette place. Il avait, bien sûr, l'intelligence et la forme d'un Cavalier. Il avait reçu son éducation d'un grand homme qui était bien réputer pour son savoir. Pourtant, à croire qu'il aurait précipitamment changé de chemin, se rangeant du côté des imbéciles plutôt que de celui des gens heureux et célèbre. Non, plutôt, célèbre et borné... Maintenant, il passe ses soirées dans les tavernes et il en ressort ivre mort, incapable de parler correctement et si, par hasard, il n'a pas trop bu et qu'il est encore à demi-conscient, il se met à faire des blagues un peu étrange, assez près de l'obsession. Et qui doit le supporter lors de ses soirées de délire? Moi!...
Mes parents m'avaient confier à lui croyant qu'il pourrait m'apprendre à devenir la meilleure Cavalière de tous les temps... Grosse erreur! Mon professeur se rendit compte après quelque mois qu'il avait beaucoup plus de chose à m'apprendre qu'il ne le pensait. Il consacra donc quelque mois, environ cinq à m'apprendre tout ce qu'il savait. Lors de son apprentissage, il apprenait lui même très lentement. Il n'avait donc pu apprendre que très peu de chose. Puis, vu que j'apprenais très vite, mon apprentissage à moi n'a pris que très peu de temps. J'avais pourtant encore une année à passer avec lui... Qu'elle galère... Mais, je fais peut-être une gaffe en vous parlant de lui comme un soulon obsédé et pervers car de vivre avec lui pendant ces 2 années m'a beaucoup amusé. J'ai appris bien des chose aussi. Tel que devenir une personne importante! Il faut d'abord comprendre que la vie d'un faux Cavalier est très difficile. Il faut chaque jour se faire passer pour quelqu'un que nous ne sommes pas. Je n'étais pas encore une Cavalière alors, je n'avais pas à jouer la comédie quand à ce que je faisait vraiment de mes journées.Car, la deuxième année, je ne faisait vraiment pas grand chose. Après quelque jour à avoir terminer mon entrainement, j'ai commencer à suivre mon "maître..." dans les meilleures tavernes de France où il passait ses journées à boire, à jouer à des jeux de cartes et de dés et à dépenser de l'argent inutilement. Il faisait aussi des paries avec les autres, voir qui finissaient ça chope le plus vite par exemple. Tout ceci me dégoutait au début mais j'ai fini par y prendre goût et j'ai commencer à faire les mêmes choses que lui. Je compris beaucoup de choses là-bas et je fus surprise par certaine. Je remarquai que tout le monde dans les tavernes se connaissaient. À croire qu'il allait toujours à la même en même temps pour parler et faire toujours la même chose.
La chose la plus surprenante fut de comprendre d'où mon "professeur" tenait sa perversité et là-dessus, il n'y avait aucun doutes. Premièrement, sachez que, à part moi qui se sentit devenir une grosse exception, il n'y avait jamais aucune femme dans ce genre de bâtiment. Il ne pouvait donc pas tenir son défaut d'une chose qui n'existe pas dans son monde de buveur... sauf exception mais, c'est une histoire un peu plus complexe ça et, répugnante aussi... Alors, revenons au sujet de départ, sa perversité... Quelque jours après être entrer dans une taverne pour la première fois de ma vie, je fini par m'habituer à l'ambiance qui me paru de plus en plus chaleureuse. Je n'avais jamais pris le temps d'observer les hommes qui m'entouraient de peur de croiser leurs regards. C'est la première fois que je levai les yeux que je j'eus peur. Tous me regardaient avec un drôle d'air sur le visage. Seul certain, trop concentrer sur leurs chope n'avait pas levé les yeux. Je ne comprit pas immédiatement ce qui ce passait mais mon "maître" essaya de me protéger contre une inévitable... bon, vous comprenez assez se que je veux dire non? Bah... j'ai pas vraiment envie d'en parler...
Jusqu'à ce jour, j'ai toujours été la petite Haaleven à son père et à sa mère. Toujours obéissante, toujours bien habiller, toujours bien coiffer, toujours sage et respectueuse. Mon professeur m'a, en quelque sorte, obligé a changé. Il disait que c'était pour me protégé mais je ne savais pas vraiment si c'était bon pour lui ou pour moi... Nous sommes aller dans une petite boutique bien spéciale et j'ai changé ma garde-robe de A à Z. Plus rien de se que nous venins d'acheter n'était comme avant. Il me disait souvent, alors que je regardais les vêtement qu'il me donnait avec dégout: "Les hommes sont moi attiré par les femmes plus attirantes." Je n'étais pas sûr que c'était vraiment mais je l'ai cru et les hommes des tavernes ont changé avec moi. Ils me traitaient plus comme une des leurs et pour la première fois de ma vie, je me sentais libre. Pas de parent pour me dire quoi faire, pas de consciences qui vous interdisent de faire des chose inapproprié! Pas même moi qui m'interdisais de faire ce que je n'aurais jamais fais en temps réelle. La réalité avait changé de place et je comprenais maintenant mon maître. Son sens de l'humour me paru terriblement amusant, je comprenais sa façon de diriger mes gestes, sa façon de me protéger.
La dernière année passa à une vitesse étonnant. Peut-être était-ce l'alcool qui me gelait le cerveau ou l'amusement que j'avais à jouer au carte et au dé avec les autres. Je fut malheureuse de quitter celui qui m'avait apprit à devenir quelqu'un qui a vraiment une vie et qui la comprend. Je n'osais pas retourner dans une taverne.
Durant ces 2 années, je ne m'étais jamais vraiment attardé à jouer ou à connaître mon dragon. Ëtrax restait dans son box toute la journée alors que j'allais m'amuser avec mon maître. Je n'aimais pas mon dragon à ce moment. C'était mes parents qui me l'avaient donner. Depuis mes 19 ans, c'est à dire, lorsque j'ai appris que j'allais devenir une cavalière, j'ai toujours détester mes parents. Pas de pourquoi à la chose. Mon destin avait été gâché par leurs faute. Et, Ëtrax était celui qui me faisait pensé à eux. Je me déchaînait donc sur lui en l'abandonnant et le faisait subir se qui représentait ma vie, l'enfer. Mais, sans le battre ou le frappé mais en le laissant seul en sachant qu'un jeune Dragon a besoin de l'affection d'une personne autre que lui même. Je ne l'utilisais seulement lors de mes cours.
Puis, lorsque je quittait celui qui m'avait enseigner, je devint vraiment malheureuse. Comme si j'avais lâché la bouée de sauvetage qui me permettait de rester hors de l'eau. Je fut donc littéralement noyer. Par la mer qui m'ensevelissait et par les larmes qui coulait tous les soirs sur mes pâles joues. Je me revoyait, le soir, alors que la fatigue me gagnait, accoté ma tête sur son épaule et le voir me sourire étrangement. Il n'avait pas l'air sympathique mais... j'adorais ses manières.
Un soir, alors que je lavait le box de Ëtrax, je m'accrochait à une nouvelle bouée venu de nul part. Adosser au mur, la tête entre mes genoux relevé sur ma poitrines, trempée de larmes, je sentis le souffle chaud d'Ëtrax sur mon visage. Je relevait la tête et vu la sienne en train de me sourire tristement. Je pris son gigantesque museau entre mes mains et le serrait fort dans mes bras. Dès lors, je fit confiance à Ëtrax. Je ne le lassait plus seul et ma vie pris un nouveau tournant.
1 année passer dans ce camp de guerre. Plus marre que ça tu meurt. Et c'était sur le point de m'arriver. Tout le monde ici ne se concentrait que sur une chose, pouvoir battre les Anglais et devenir quelqu'un de reconnu, de puissant et de célèbre. Parfois, j'avais peur d'attraper leur maladie, Je ne voulais pas devenir borné comme eux et d'avoir envie de vivre une vie de héros. Je ne voulais que rester la Haaleven que j'étais devenu durant mon apprentissage. Je ne voulais simplement que de vivre avec mon Dragon et savoir pourquoi j'étais venu ici.
Le campement était pourtant bien joyeux. Les hommes et quelque femmes à peine se côtoyait joyeusement. Tout le monde ou presque ce connaissait. Et, j'étais bien connu aussi. Lorsque je parlais de moi comme étant la fille d'une certaine Paendra Jilgur, tout le monde commençaient à me poser des questions comme: "Comment c'est d'être la fille d'une cavalière aussi reconnu?" ou encore: "J'imagine que tu est aussi bonne et talentueuse qu'elle, n'est-ce pas?". J'entendais même parfois des gens qui disaient: "Bien sûr! Pourquoi n'y avais-je pas penser plus tôt! Tu as exactement les mêmes trait que cette charmante Paendra!". Ils me faisaient rire eux. À croire qu'ils avaient rencontrer ma mère alors qu'elle n'avait travailler ici qu'une dizaine d'années et encore. En plus, tout ceux qui connaissent ma famille disaient que je ressemblais très peu à ma mère et que tout mon physique me venait de mon père. Il n'y a que mes yeux qui sont à elle.
Le soir, le camp était calme. On entendait presque coasser les crapauds. Seulement lorsqu'on passait près d'un semblant de taverne, le bruit nous envahissait. Bien sûr, comme je savais à quoi ressemblais une vrai taverne, je savais que celle-ci n'était qu'une piètre baraque. Par la fenêtre du petit bâtiment, j'apercevais parfois le visage de mon ancien maître. Il était Cavalier au même campement que moi. Mais, je ne le croisait pas le jour. Je voyait qu'il avait le même entrain à boire qu'avant mais il y avait quelque chose qui avait disparu dans ses yeux. Je n'avais pas envie d'entrer pour rencontrer des gens qui ne ferait que me frustré. Je savais que je n'aurais que plus envie de mourir si j'entrais là-dedans. Et, à voir comment le capitaine de mon équipe se comportait à l'intérieur, j'en avais presque envie de pleurer...
Je me rend compte que j'ai rencontré beaucoup d'imbéciles dans ma vie. Mais, je comprend maintenant, qu'il ne l'étaient pas tant que ça. Pas autant que le capitaine de mon équipe. En fait, je suis le capitaine de mon équipe mais, vu que j'étais débutante, ils m'ont confier à un superviseur qui s'occupe réellement de mon équipe. Je n'ai pas l'impression que c'était parce que j'étais débutante mais plutôt parce qu'ils n'avaient pas confiance en moi. C'est vilain tout de même... Pas faire confiance en la fille de la
Grande Paendra! Rah... tout de même... j'en ai marre d'entendre cette phrase-là... Alors, pour en revenir à mon superviseur, il est lourd à supporter. Je pourrait dire que c'est dans les 2 sens mais, ça pourrais être cruel. Alors, il est lourd dans les 2 sens. Oups... comme je suis méchante... Bon, dans le fond, il est toujours sur mon dos. Chaque fois que mon équipe fait une erreur, la seule personne qui peut être coupable, c'est moi. Heureusement que mon équipe n'en fait pas beaucoup. Mais, parfois, en tant que Haaleven, jeune apprentis d'un soulons, je me doit de lui désobéir. Et c'est, heureusement, ce que je fais.
... J'ai l'impression 'avoir changé. Trop à mon goût... Depuis mon départ de la maison, je suis passé par plus étape pour devenir se que je suis. Et, certaine m'ont rendu étrange et stupide, parfois détestable. Que j'ai envie de frappé quelqu'un à la mort me rend bizarre. Oui, c'est vrai, avant, j'aimais bien me battre avec les enfants du village pour jouer. Maintenant, j'aurais envie de me battre pour faire mal. Mon métier est bien le but. Tuer les Anglais et leurs faire avaler leurs Dragons. Le deuxième bout, c'est de moi que ça viens. Vous voyez bien comme je suis devenu agressive. Quelques jours, je me fait peur...
(J'ai l'impression de parler pour ne rien dire...) Seulement pour les Cavaliers :
¤ Nom du Dragon : Ëtrax
¤ Race de votre Dragon :
¤ Âge du Dragon :
¤ Sexe du Dragon :
¤ Position dans la formation de combat de votre équipe (Avant, arrière, diagonale droite, etc.) :
¤ Description physique et psychologique (Six lignes minimum) :
